Tu me disais: Ma jouissance est plus forte lorsque je suis venu une première fois, ne me demandez pas pourquoi, je vous en prie, je suis comme ça, c'est tout.
Mais non, je ne te poserai jamais de question pour la raison fort simple que tes réponses, bredouillées dans la honte ou développées avec une précision géométrique, sont sans intérêt de toute façon. Je n'ai pas beaucoup de patience pour la nuit des autres.
Je te claque, tu me paies. Tout le monde est content, ton abîme est intact, et pour le reste, je tiens le registre des progrès accomplis par ma petite élève en collant des étampes étoilées en marge de ses compositions les plus noires.
Te voici les bras relevés et les poignets menottés à une chaîne rivée au plafond. Tes pieds sont suspendus à quelques centimètres du sol, et tu tournes lentement sur l'axe de la chaîne comme un gigot empalé au crochet d'un abattoir. Tu fermes les yeux à l'instant où Scission te saisit aux aisselles, immobilise ta rotation et se poste derrière toi en ajustant le strap-on.
Scission est douce et avenante, elle ne te pénètre pas sauvagement, elle y a avec délicatesse et, pour l'instant, elle se limite à taquiner la raie de ton cul en agitant le bassin comme le font les danseuses qui sinuent, le regard ailleurs, autour des poteaux d'argent.
C'est le premier acte d'une pièce qui s'achèvera au troisième si tu tiens le coup jusqu'à la fin.
Scission pince ton gland, elle le triture du pouce et de l'index; ses trois autres doigts tissent une toile dans le vide, et tes reins se cabrent sous la pression croissante du gode. Ta bite éblouie se braque sous une pellicule
de
cire
cire
chaude.
C'est ici que j'interviens. J'enfonce mes ongles dans la chair de ta poitrine, et je te saigne à mains nues, je t'écorche à fond, des seins jusqu'au bassin.
Je recule sans te quitter des yeux, Scission accélère la cadence enculatoire, je recule encore en faisant claquer mes sabots de Silène. Je dis: Cochon considérable, cinq mètres nous séparent, voyons si tu peux battre ton record et juter jusqu'à mes pieds.
Scission resserre sa poigne autour de ta queue qui décrit un angle de 110 degrés, tu écumes, le sperme file et son arc se casse, se pulvérise en une fontaine éparse dont je saisis au vol quelques gouttelettes. Je te reviens, je te passe au visage ma main toute poisseuse de jus et j'ordonne à Scission de te détacher.
Je dis: Si je n'avais pas tendu la main, ta merde serait tombée à un mètre de mes bottes. Tu murmures: J'ai échoué, je ne suis qu'un sac à ordures plein à craquer, je mérite une correction. Je dis: Quant à moi, tu ne mérites rien, tu pourrais aussi bien t'étouffer dans ton vomi, mais je vais te corriger quand même.
Une fois détaché, je t'ordonne de te mettre à genoux, je m'empare du fouet et je te bande les yeux. Tu as trente secondes pour trouver le chemin de ta cage, faute de quoi je te renvoie à la lumière des hommes et tu seras privé de dessert.
Tu gémis: Mais où est la cage? Déesse, tu ne me l'as pas dit, donne-moi au moins un indice. Je réponds: La cage est partout, écoute ton coeur.
Et je te cingle entre les omoplates de toutes mes forces. Tu n'as manifestement pas apprécié. Tu te relèves en titubant et tu retires ton bandeau. Tu cries: Mais ça va pas, non? Tu es folle!
Peut-être mais tu ne me
parleras pas
sur
ce
ton
Je passe le fouet à Scission qui te cingle à son tour, mais cette fois sur les cuisses, tout juste à lisière des couilles. Tu t'écroules, tu te replies en position foetale, tu cries encore plus fort: WO, STOP, JE NE MARCHE PLUS, ON ARRÊTE TOUT, ON...
J'écrase ton groin de porc récalcitrant sous mon sabot. Je dis: Tu veux qu'on arrête tout? C'est vraiment ce que tu veux? Tu connais le safeword, alors dis-le et tout sera fini.
Tu murmures: Non, je ne m'en souviens pas... Je dis: Dans ce cas, veux-tu que je te le rappelle?
Tu ne réponds rien.
Une fois détaché, je t'ordonne de te mettre à genoux, je m'empare du fouet et je te bande les yeux. Tu as trente secondes pour trouver le chemin de ta cage, faute de quoi je te renvoie à la lumière des hommes et tu seras privé de dessert.
Tu gémis: Mais où est la cage? Déesse, tu ne me l'as pas dit, donne-moi au moins un indice. Je réponds: La cage est partout, écoute ton coeur.
Et je te cingle entre les omoplates de toutes mes forces. Tu n'as manifestement pas apprécié. Tu te relèves en titubant et tu retires ton bandeau. Tu cries: Mais ça va pas, non? Tu es folle!
Peut-être mais tu ne me
parleras pas
sur
ce
ton
Je passe le fouet à Scission qui te cingle à son tour, mais cette fois sur les cuisses, tout juste à lisière des couilles. Tu t'écroules, tu te replies en position foetale, tu cries encore plus fort: WO, STOP, JE NE MARCHE PLUS, ON ARRÊTE TOUT, ON...
J'écrase ton groin de porc récalcitrant sous mon sabot. Je dis: Tu veux qu'on arrête tout? C'est vraiment ce que tu veux? Tu connais le safeword, alors dis-le et tout sera fini.
Tu murmures: Non, je ne m'en souviens pas... Je dis: Dans ce cas, veux-tu que je te le rappelle?
Tu ne réponds rien.
Scission allait te frapper à nouveau. Je lui ordonne de suspendre le fouet et je répète la question: Veux-tu que je te rappelle le safeword? Et c'est à cet instant que tu craques, que tu te mets à pleurnicher comme un petit enfant perdu dans une foire: Non, je ne veux pas, non, non, non.
Alors nous te fouettons à quatre mains, nous y mettons toute la gomme, les coups pleuvent de partout, tes couilles valsent, ton cul se déchire, tes dents craquent, tu roules à droite, je te cingle les pieds, tu roules à gauche, elle te te lacère l'abdomen, tu reçois en hurlant le don de la douleur et des larmes, et lorsque tu n'est plus qu'une carcasse zébrée et purulente
nous passons enfin
au troisième
acte.
Je retire un de mes sabots et j'enfouis ton museau morveux dans l'empeigne. Je pose délicatement ta tête sur le coussin de mes cuisses repliées et je dis: Inspire, Inspire à fond. Au même moment, Scission se couche sur le côté, dégage ta queue flapie qu'elle se met à branler, d'abord lentement, puis de plus en plus vite; elle te finit en te suçant, et lorsque tu viens enfin, la jouissance est si forte et si ravageante que tu en dégueules dans ma botte.
Cet après-midi là, après ton départ, je prenais le soleil à la terrasse d'un café du Vieux Port en compagnie de Scission. C'était la première belle journée de printemps, je l'aurais volontiers passée tout entière à l'extérieur, mais il fallait renflouer la caisse. Je regardais les hommes circuler sur la place, à la traîne de leurs affreuses bonnes femmes.
Ils sont nombreux à être comme toi, beaucoup plus nombreux que tu ne pourrais l'imaginer.
À un certain moment, j'ai pointé du doigt un vieux beau et j'ai dit à Scission: Lui.
Elle m'a embrassée, elle s'est levée et elle s'est mise à le suivre. Je pouvais compter deux bonnes heures avant qu'elle ne revienne au studio. Alors j'ai commandé une autre bouteille, j'ai ouvert mon carnet et je me suis branlée discrètement en tirant le croquis de la guêpière dont je rêvais depuis longtemps.
Alors nous te fouettons à quatre mains, nous y mettons toute la gomme, les coups pleuvent de partout, tes couilles valsent, ton cul se déchire, tes dents craquent, tu roules à droite, je te cingle les pieds, tu roules à gauche, elle te te lacère l'abdomen, tu reçois en hurlant le don de la douleur et des larmes, et lorsque tu n'est plus qu'une carcasse zébrée et purulente
nous passons enfin
au troisième
acte.
Je retire un de mes sabots et j'enfouis ton museau morveux dans l'empeigne. Je pose délicatement ta tête sur le coussin de mes cuisses repliées et je dis: Inspire, Inspire à fond. Au même moment, Scission se couche sur le côté, dégage ta queue flapie qu'elle se met à branler, d'abord lentement, puis de plus en plus vite; elle te finit en te suçant, et lorsque tu viens enfin, la jouissance est si forte et si ravageante que tu en dégueules dans ma botte.
Cet après-midi là, après ton départ, je prenais le soleil à la terrasse d'un café du Vieux Port en compagnie de Scission. C'était la première belle journée de printemps, je l'aurais volontiers passée tout entière à l'extérieur, mais il fallait renflouer la caisse. Je regardais les hommes circuler sur la place, à la traîne de leurs affreuses bonnes femmes.
Ils sont nombreux à être comme toi, beaucoup plus nombreux que tu ne pourrais l'imaginer.
À un certain moment, j'ai pointé du doigt un vieux beau et j'ai dit à Scission: Lui.
Elle m'a embrassée, elle s'est levée et elle s'est mise à le suivre. Je pouvais compter deux bonnes heures avant qu'elle ne revienne au studio. Alors j'ai commandé une autre bouteille, j'ai ouvert mon carnet et je me suis branlée discrètement en tirant le croquis de la guêpière dont je rêvais depuis longtemps.






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